Diapason thérapeutique - Onde de Schumann 7,83 Hz
Ces deux diapasons de 135,83 Hz et 128 Hz doivent être exclusivement combinés pour créer l'onde de Schumann à 7,83 Hz.
Ces deux diapasons sont indiqués en combinaison pour la pratique de la sonothérapie.
Nota : s'utilisent exclusivement ensemble.
Ces deux diapasons combinés sont utilisés exclusivement au niveau des oreilles pour créer une fréquence résultante de 7,83 Hz pour aider vos clients à se relaxer.
Voir Principes d'action et Explications scientifiques, ci-dessous.
La fréquence de 7,83 Hz est une fréquence Alpha, qui entre spécifiquement en résonance avec une vibration terrestre atmosphérique, appelée Résonance de Schumann ou Onde de Schumann.
Voir Historique ci-dessous. Cette fréquence crée un bourdonnement infrasonique et procure une sensation de profonde relaxation et d’apaisement immédiats.
Toute la boîte crânienne est mise en vibration à travers l'écoute binaurale de ces deux diapasons combinés ensemble (128 et 135,83 Hz). Une fréquence résultante de 7,83 Hz est créée par combinaison des fréquences portées par ces deux diapasons.
Ils reproduisent la vibration de l'atmosphère terrestre, par leur combinaison fréquentielle. La fréquence de 7.83 Hz est obtenue par combinaison de la vibration de deux diapasons. Ils créent par leur interférence vibratoire une des ondes atmosphériques terrestres majeures, dites Onde de Schumann : 7,83 Hz. Cette fréquence favorise la relaxation, améliore le sommeil, soulage les tensions musculaires, les spasmes, la douleur et améliore la circulation par la relaxation.
Écoute et achat
Diapasons thérapeutiques Onde de Schumann
Duo 128-135,83 Hz (2 diapasons)
(Fréquence soustractive = 7,83 Hz)
* (Lesté)
Diapason thérapeutique 135,83 Hz seul.
Seulement si vous possédez déjà le diapason 128 Hz.
* (Lesté)
En complément : Diapason thérapeutique Om 136,10 Hz
* (Lesté)
Information générale
Qu’est-ce que la Résonance de Schumann ?
Pressenties par Nikola Tesla en 1905, l’existence d’ondes mises en résonance par la terre a été démontrée par le physicien allemand Winfried Otto Schumann en 1954. Que l’on y croie ou pas, la Terre agit comme un énorme circuit électrique.
Nikola Tesla (1856-1943) a pressenti la présence d'un cavité résonante accordée sur la fréquence de 8 Hz dans l'atmosphère terrestre en 1905. Winfried Otto Schumann (1888-1974) l'a démontrée en 1954.
L’atmosphère est en fait faiblement conductrice et s’il n’existait aucune source de charge par les décharges permanentes de foudre et d'éclairs, la charge électrique se disperserait en moins de 10 minutes et les Ondes de Schumann n'existeraient pas.
Les 55 Km de hauteur qui caractérisent l'espacement circumterrestre entre la surface de la Terre et la limite intérieure de l'ionosphère, forment une immense cavité de résonance.
À tout moment, cette cavité se caractérise par une charge électrique, alimentée en permanence par les éclairs avec une occurrence d'environ 100 fois par seconde.
Il existe de ce fait un courant vertical entre le sol et l'ionosphère, facilement observable avec les éclairs et la foudre.
Elles ne sont pas causées par quelque élément interne de la Terre, sa croûte ou son noyau.
Les Ondes de Schumann dépendent en premier lieu de l'activité électrique de l'atmosphère terrestre.
Elles sont donc strictement reliées à l’activité électrique dans l’atmosphère, particulièrement pendant des conditions d’intenses activités de foudre. Réparties harmoniquement entre entre 6 et 50 Hertz, plusieurs fréquences les caractérisent, avec plus particulièrement : 7.83, 14, 20, 26, 33, 39, et 45 Hz, avec une variation journalière de +/- 0.5 Hertz.
Aussi longtemps que les particularités de la cavité électromagnétique de la Terre restent les mêmes, ces fréquences restent stables. On peut penser qu’il se produit des changements liés aux cycles de taches solaires qui se reproduisent tous les 11 ans. Cependant la fréquence de cette onde stationnaire est directement reliée à la longueur d'onde que constitue la circonférence terrestre, à savoir 40 075 Km. Elle entre en résonance et en cohérence avec elle. D'où l'expression « Résonance de Schumann ».
La résonance de la Terre (atmosphère terrestre) est caractérisée par un phénomène d'ondes électromagnétiques quasi immobiles qui existent dans cette cavité (ondes stationnaires). Comme des ondes sur une corde, elles ne sont pas toujours présentes à tout moment mais elles ont besoin d’être stimulées pour être observées. Elles ne sont pas causées par par la Terre elle-même (structure interne) mais sont donc exclusivement d'origine atmosphérique.
Compte tenu de la charge atmosphérique de la Terre, du courant et du voltage, il n’est pas surprenant d’être en présence de telles ondes électromagnétiques.
Les propriétés résonantes de cette cavité ont été prédite en 1905 par Nikola Tesla, puis par le physicien allemand Winfried Otto Schumann en 1952 puis finalement détectées et prouvées scientifiquement par le même Winfried Otto Schumann et Herbert L. König en 1954. La première représentation spectrale de ce phénomène fut publiée par M. Balser et C. Wagner en 1960*.
* BALSER, M., WAGNER, C. Observations des résonances des cavités Terre – Ionosphère. Nature 188, 638–641 (1960) doi: 10.1038 / 188638a0 - 19 novembre 1960.
Les éclairs frappent la haute atmosphère terrestre environ 100 fois par seconde. Ils entrent en résonance avec la circonférence de la Terre et sont à l'origine des Ondes de Schumann.
Par la suite, la majorité des recherches furent faites par le Département de la Marine des Etats-Unis qui étudie la communication à très basse fréquence avec les sous-marins.
Pour plus d’information sur le sujet, il est recommandé de consulter le livre de Hans Volland : Hand book of Atmospheric Electrodynamics, vol.1 publié par CRC Press. Le chapitre 11, écrit par David Campell de l’Institut de Géophysique de l’Université d’Alaska (Fairbanks AK 99775), est entièrement consacré à la Résonance de Schumann. Il y est également présenté l’histoire de cette recherche ainsi qu’une bibliographie considérable.
Principe d'action
La combinaison des deux fréquences de 128 Hz et 135,83 Hz crée un bourdonnement infrasonique de 7.83 Hz, fidèle à l'onde de Schumann majeure, représentée par la même fréquence de 7.83 Hz. Cette vibration est une basse fréquence inaudible (infrason) mais la combinaison des deux fréquences audibles caractéristiques de ces deux diapasons, induit cette 3e onde inaudible, par un principe connu en physique acoustique.
Ce phénomène se crée par interférence de deux fréquences proches qui entrent en dissonance et se combinent. La fréquence créée est représentée par la différence de celle des deux diapasons : 135,83 - 128 = 7,83.
Cf. explication scientifique au paragraphe suivant.
Ce procédé est nommé interférence, battement hétérodyne ou son résultant, tel qu'expliqué dans le livre Le Son des Vibrations, au chap. 6 :
Au 18e siècle, le compositeur italien Giuseppe Tartini (1692-1770) a décrit l'interférence entre deux sons proches, qu'il a nommée Terzo suono, le troisième son, ce qu'on appelle aujourd'hui le phénomène de battement qui est une interférence créée par 2 fréquences proches et de même intensité.
Ce battement est en quelque sorte une troisième vibration, dont la fréquence est la différence des deux sons en question. Elle est appelée parfois sous-harmonique.
« En 1714, âgé de vingt-deux ans seulement, j'étais à Ancône lorsque je découvris ce phénomène [du troisième son NDLR.] de manière fortuite sur le violon. J'en fis alors part sans réserve ni mystère aux professeurs de violon. Trattato di musica secondo la vera scienza dell' armonia, Padoue 1754. »
Pour davantage d'explications concernant les Infrasons, voir le livre :
Le Son des Vibrations aux Chapitres 6 et 7.
Ce principe est appliqué dans la fabrication de certains orgues pour créer des tuyaux fantômes à des tonalités ultra graves et obtenues par l'activation concomitante de deux tuyaux aux fréquences plus aiguës, dont la différence acoustique crée un son de Soubasse ou Contre-Bombarde, de 64 pieds.
Exemples :
» Il existe cinq exemples d'orgues connus utilisant ce principe de son résultant : l'orgue de la First Congregational Church de Los Angeles, le Royal Albert Hall de Londres, celui de la cathédrale de Liverpool, et le grand orgue de la Cathédrale Notre-Dame-de-la-Treille à Lille. »
Dans ces instruments, on utilise le son résultant, avec le même principe que nos diapasons Schumann à une échelle très élargie et terme de grandeur ! Il est alors utilisé par exemple, la combinaison fréquentielle entre un jeu de 32 pieds et la quinte d'un jeu de 21 pieds : un tuyau respectant le ratio de de la quinte 2/3.
» Le Boardwalk Hall Auditorium Organ d'Atlantic City (États-Unis) qui est un des seuls orgue à disposer d'un tuyau de 64 pieds réel, avec le Sydney Town Hall (Australie), dispose en outre d'un jeu de 42 pieds (ratio 2/3), à partir duquel il est techniquement possible de produire une résultante très basse de 4,09 Hz en le couplant au jeu de 64 pieds (C-2 qui équivaudrait à un ut d'un jeu de 128 pieds).
» La note la plus grave d’un jeu de 32 pieds (inconnu dans la facture d'orgue française), (toujours un Ut) fait entendre 16,351 6 Hz (C0) et le premier Ut du jeu de 64 pieds produit une onde sonore de 8,175 Hz, soit 8 Hz (C-1) dont la restitution sur CD ne peut être entendue qu'avec un casque. De telles fréquences se situent bien en dessous de la limite audible couramment admise (20 Hz), seuls les harmoniques sont audibles, ces jeux servent à produire une très basse fréquence fondamentale qui se ressent physiquement plus qu'elle ne s'entend. »
Ci-dessus : tuyaux de Montre dans une église allemande avec au centre un Principal de 32'.
Explication scientifique
La combinaison de deux fréquences proches, en produisant une troisième, est un phénomène acoustique, issu des lois de la physique. Ce principe est nommé : Son résultant ou Battement. C'est une loi scientifiquement démontrée.
Ce principe est utilisé en organologie pour créer des tuyaux graves fantômes, qui n'existent pas, mais dont les fréquences sont fabriquées par deux tuyaux, accordés de manière spécifique, pour remplacer des tuyaux très graves et donc très coûteux.
Concernant ce fameux troisième son, laissons la parole à un expert :
Serge Cordier, Piano bien tempéré et justesse orchestrale, Buchet Chastel 1982, pp. 209-210.
« Battements entre sons fondamentaux de fréquences voisines
» Lorsque nous entendons deux sons de fréquences voisines et de même intensité, deux La émis par deux diapasons, l'un de 440 Hz, l'autre de 441 Hz, par exemple, nous ne percevons pas deux sons distincts mais un son unique de hauteur intermédiaires entre celle des deux La ; par ailleurs l'intensité de ce son n'est pas constante :
Elle passe régulièrement d'un maximum à un minimum toutes les secondes (1 Hz NDLR), c'est-à-dire avec une fréquence égale à la différence des fréquences des deux sons ; on dit alors que ces deux sons « battent » ensemble et on appelle rapidité (en abrégé R) la fréquence des battements qu'ile émettent. Si on appelle N2 la fréquence du son le plus aigu et N1 celle du son le plus grave, on a donc :
R = N2 - N1
Dans l'exemple ci-dessus :
R = 441 Hz - 440 Hz
R = 1 Hz
NDLR (diapason Schumann)
R = 135,83 Hz - 128 Hz
R = 7,83 Hz
» On explique généralement le phénomène de battement de la manière suivante :
lors de leur première vibration, les branches des deux diapasons vont vibrer dans le même sens parallèlement. Les effets des deux vibrations vont alors s'ajouter ; elles seront « en phase » comme disent les physiciens et l'intensité sera maximum ;
au départ de la seconde vibration, il y aura un début de décalage entre les deux diapasons puisque le diapason qui vibre à 441 Hz (135,83 Hz NDLR) va distancer un peu celui qui ne présente que 440 Hz (128 Hz NDLR).
» Ce décalage va s'accentuer à chaque vibration et il sera maximum au bout d'une demi seconde : les deux branches du premier diapason se déplacent alors en sens contraire des branches du second (opposition de phase) et l'intensité est minimum puisque les vibrations propagées par l'air se contrarient. Puis le décalage va devenir de plus en plus faible et au bout d'une seconde les deux diapasons vont se retrouver « en phase » : l'un aura effectué 440 vibrations complètes et l'autre 441, le son entendu atteindra à nouveau son intensité maximum. Si l'un des diapasons présente 450 Hz et l'autre 440, la différence de fréquence est alors de 10 Hz.
» En une seconde le diapason le plus rapide accomplit 10 vibrations de plus que l'autre, la différence de fréquence est alors de 10 Hz. En une seconde le diapason le plus rapide accomplit 10 vibrations de plus que l'autre et se trouve donc 10 fois en phase et 10 fois en opposition de phase. On entend donc dans ce cas, 10 battements ou fluctuations d'intensité en une seconde. »
Serge Cordier, Op. cit.
Application pour le diapason Schumann :
Si l'un des diapasons présente 135,83 Hz et l'autre 128, la différence de fréquence est alors de 7,83 Hz. En une seconde le diapason le plus rapide accomplit 7,83 vibrations de plus que l'autre, la différence de fréquence est alors de 7,83 Hz. En une seconde le diapason le plus rapide accomplit 7,83 vibrations de plus que l'autre et se trouve donc 7,83 fois en phase et 7,83 fois en opposition de phase. On entend donc dans ce cas, 7,83 battements ou fluctuations d'intensité en une seconde (ie 7,83 Hz).
Utilisation
Le diapason 128 Hz est le diapason de base en sonothérapie. C'est la raison pour laquelle nous offrons cette combinaison en ajoutant le diapason Onde de Schumann (Schumann Wave) à 135.83 Hz.
Pour se familiariser avec l’usage des diapasons thérapeutiques, il est recommandé de commencer avec les diapasons 128 Hz, utilisés par deux, au niveau des oreilles. Pour créer une Onde de Schumann, il est alors aisé de remplacer l'un des diapasons 128 Hz par le diapason Onde de Schumann (Schumann Wave).
Selon le même principe d'application, le diapason 135,83 Hz est alors utilisé en combinaison exclusive avec le diapason 128 Hz.
La fréquence créée est une onde de type Alpha. On peut d'ailleurs créer une onde similaire (8.10 Hz) en combinant le diapason 128 Hz avec le diapason Om 136.10 Hz. La fréquence obtenue dans ce cas est cohérente avec l'onde de Schumann, sans cesse fluctuante tel que décrit ci-dessus. Pour créer d'autres formes d'ondes cérébrales (Alpha, Thêta, Delta, Gamma), voir le Set de Diapasons Brain Tuners.
Nous ajoutons que la combinaison du Diapason Om 136,10 Hz et Schumann Wave 135,83 Hz, donne une fréquence de 0.27 Hz, un quasi-unisson favorisant le sommeil et l'hypnose.
Bénéfices :
¤ Relaxation profonde et sensation d’apaisement
¤ Apaisement des tensions musculaires des spasmes et de la douleur
¤ Soulagement du stress
Pertinence et fausses informations
Pertinence de l'usage des diapason Ondes de Schumann
Par ailleurs, sauf d'être cosmonaute et de vivre dans une station orbitale au-delà de l'atmosphère terrestre ou encore de vivre dans une caverne minière ou une grotte profondément enfouie sous terre, personne ne manque de la fréquence naturelle de 7.83 Hz, dite Onde de Schumann. Nous vivons tous et toutes, en permanence baignés et environnés de cette vibration qui résonne comme un diapason céleste universel, gratuit et permanent.
Le seul intérêt de leur usage, réside dans le fait que cette vibration est très relaxante et se connecte automatiquement au cerveau en stimulant la production d'ondes Alpha, propices à la relaxation à la méditation et favorisant le sommeil.
Ce diapason est donc une ressource très utile dans un monde dominé par le stress, l'agitation, la confusion et l'incohérence dans bien des domaines...
Fausses informations
Post publié sur la page Facebook Sonologie Science en octobre 2017 :
Conformément à l'enseignement de MedSon et contrairement à toutes sortes de fausses informations diffusées sur le web, la fréquence de la Terre n'évolue pas et si l'on intègre l'ensemble des mauvais traitements que l'Humanité lui inflige (pollution, conflits, guerres, politique misanthrope), - elle aurait plutôt tendance à s'altérer et à descendre en terme de vibration.
L'Onde Schumann est proportionnelle à la longueur d'onde représentée par la circonférence de la Terre (40 075 Km).
« Le centre de recherche HeartMath en Californie collecte et affiche en permanence les relevés des mesures des ondes. Les lecteurs peuvent constater que la valeur moyenne du maximum du premier pic est toujours de 7,8 Hz, exactement comme au début des premières mesures à la fin des années 1950. »
Voir article sur le Blog de MedSon : Non, le taux vibratoire de la Terre n’augmente pas, il est en baisse
Les Ondes de Schumann restent constantes. Voir l'article très complet et documenté du physicien Alain Boudet : Les résonances de Schumann
Mise à jour sur la Résonance de Schumann - Octobre 2020
Autres diapasons dits 'Ondes de Schumann'
Il nous est fréquemment demandé notre avis sur les diapasons 31,12 Hz - 62,64 Hz - 125.28 Hz et 528 Hz.
Avant de proposer un article plus complet sur la question, voici des premiers éléments de réponse.
Pour le 528 Hz, cette fréquence qui ne répare aucun ADN, nous avons d'ores et déjà traité le sujet. Il s'agit d'une arnaque. Voir l'article ici. Elle est seulement le Do aigu d'une gamme de Zarlino, démarrant à 264 Hz, avec un La à 440 Hz.
Autres fréquences
Nous comprenons fort bien votre embarras, car toutes sortes d'informations parfois les plus fantaisistes circulent au sujet des fréquences et des diapasons qui les supportent.
Tout d'abord, si vous prenez soin de lire l'article écrit au sujet du 528 Hz, il n'y a plus aucun doute sur la supercherie qui se cache au sujet de l' 'affaire'.
Ensuite, pour ce qui a trait aux autres diapasons diffusés par d'autres sites commerciaux, nous les avons éliminés d'office, car ils sont hors normes par rapport à ceux que nous utilisons dans nos protocoles et n'apportent rien de particulier à part de la confusion.
J'ajoute que les personnes qui les diffusent créent énormément de cafouillage et de complication.
Et rassurez-vous vous n'êtes pas la première personne qui se questionne à leur sujet.
Les gens qui diffusent ce genre de produits créent du désordre, plus qu'autre chose.
Nos diapasons de base sont : 128 Hz, 64 Hz et 32 Hz.
Soit des octaves de 1. (Par divisions successives par 2, vous arrivez à 1, avec ces différentes fréquences)
Ils sont à la base des premières recherches scientifiques en acoustique par le physicien Joseph Sauveur, qui a déposé la fréquence de 128 Hz et 256 Hz à l'Académie Royale des Sciences en 1711.
À l'époque, on parlait de battements par seconde… Voir notre article sur L'origine du diapason scientifique.
La fréquence de 128 Hz a par la suite été utilisée en audiométrie et acoumétrie par les médecins ORL allemands pionniers : Rinne et Weber. Elle est toujours utilisée en médecine depuis plus d'un siècle.
Acoumétrie du Dr Rinne et du Dr Weber.
Il se trouve que la fréquence 8 Hz, qui est un arrondi de la fréquence dite 'onde de Schumann', soit 7,83 Hz, est donc une octave elle aussi de nos diapasons de base.
Sachez en très résumé que l'Onde de Schumann est fluctuante et que 8 Hz entre tout à fait en cohérence avec elle (!)
Et pour les personnes souhaitant se procurer 'LE' diapason Schumann, nous en avons fabriqué un : il s'agit du diapason Schumann de 135,83 Hz, qui combiné simultanément au diapason 128 Hz, donne 7,83 Hz. (Par effet binaural obtenu grâce à la combinaison des 2 fréquences qui se retranchent en créant un 3e son).
Les autres diapasons soi-disant Schumann n'ont aucune utilité dans nos protocoles, car ils entrent en conflit fréquentiel avec la plupart de nos diapasons (C&G, C&G octaves, gamme et gammes harmoniques, etc.).
En fait la fréquence de Schumann est arbitraire, elle varie sans cesse, comme une ondulation permanente qui oscille autour d'une constante (une onde stationnaire), ou comme un pouls humain qui varie sans cesse. Rappelez-vous que tout est mouvement et que rien n'est constant.
La terre est vivante, l'univers est vivant.
Les planètes du système solaire ondulent ensemble en homéostasie.
Et pour des raisons encore scientifiquement inconnues, leurs énergies communiquent entre elles, comme le font celles des arbres dans une forêt.
Ce dernier point commence à être démontré scientifiquement.
Les arbres communiquent entre eux et se soutiennent dans une sorte de fraternité végétale.
Il semble que les planètes du système solaire se soutiennent entre elles dans une homéostasie fraternelle et une sorte de fraternité stellaire, en équilibre avec l'énergie cosmique dans laquelle elles baignent.
Comme nous l'expliquons dans cet article, l'énergie de la Terre est globalement en baisse, affectée par la pollution humaine, les forages miniers qui fractionnent la croûte terrestre.
Dans cette perspective, les tremblements de Terre et le volcanisme formeraient une forte de révolte de l'astre qui nous porte, contre les mauvais traitements que l'Humanité lui inflige ֎
La Terre est animée d'ondulations permanentes et baigne dans un train d'ondes électriques dont l'onde stationnaire a été mesurée : elle varie sans cesse aux alentours de 7,83 Hz.
Usages thérapeutiques complémentaires
Dans le cadre d'une séance « Onde de Schumann », le diapason Om 136,10 Hz peut s'utiliser en complément, afin de créer une onde Potentiels Corticaux Lents à 0,27 Hz (soulagement de l'anxiété). Cette fréquence ultra-basse s'obtient par combinaison soustractive des 2 fréquences de 135,83 et 136,10 Hz.
Soin détente, lâcher-prise, soulagement de l'anxiété
Pour entreprendre une séance axée sur la détente et le lâcher-prise, l'usage du set de diapasons Onde de Schumann est préconisé. En complément, nous préconisons l'ajout du diapason Om 136,10 Hz, très adaptés à une indication de détente et de relaxation axée sur le soulagement de l'anxiété. Une fréquence de 0,27 Hz est alors créée de manière soustractive (135,83 Hz et 136,10 Hz) et permet de générer un type d'onde cérébrale spécifique appartenant au groupe appelé Potentiels Corticaux Lents.
Soin détente, lâcher-prise
Huile essentielle Délices de Rose
Le mélange Délices de Rose est constitué d'Eau de Rose avec des huiles essentielles, est indiquée pour accompagner les diapasons Onde de Schumann (Schumann Wave) et Om 136,10 Hz.
Autres huiles que vous pouvez utiliser, dans le but d'harmoniser la séance, en complément de ces diapasons :
¤ Mélèze
¤ Épinette noire
Soin détente, lâcher-prise
Pour entreprendre une séance axée sur la détente et le lâcher-prise, l'usage du set de diapasons Onde de Schumann est préconisé. En complément, nous préconisons l'ajout des diapasons du set C&G 256-384 Hz (Do-Sol), très adaptés à une indication de détente et de relaxation. Puis les diapasons 128,64 et 32 Hz pourront finalement vous permettre d'étoffer votre protocole.
Soin détente, lâcher-prise
Huile essentielle Pruche
L'huile essentielle du Canada, la Pruche, est indiquée pour accompagner les diapasons Onde de Schumann (Schumann Wave) 7.83 Hz (128 + 135.83 Hz).
Autres huiles que vous pouvez utiliser, dans le but d'harmoniser la séance, en complément de ces diapasons :
¤ Mélèze
¤ Bois de Santal
Soin détente, lâcher-prise
Dans le cadre d'un protocole de séance de sonothérapie axé sur la détente et le lâcher-prise, le set de diapasons Onde de Schumann dont il est question ici est très adapté. En complément des indications ci-dessus (C&G et arômes), le diapason 24 Hz est un ajout pertinent, sans oublier naturellement les diapasons 128 Hz, 64 Hz et 32 Hz.
Accessoires
L'activateur pour table
L'activateur sert à frapper les diapasons. Il évite d'avoir des ecchymoses.
Le repose-diapasons
Le repose-diapasons permet de placer ses outils thérapeutiques de façon pratique, élégante et professionnelle.
Note
* Les diapasons lestés
Les diapasons lestés ont un son pur et très vibrant, quasiment dénué d'harmoniques. Les lests (poids visibles sur certaines icônes) servent surtout à avoir un diapason moins long, donc moins encombrant et plus facile d'usage. Les lests sont donc utilisés surtout pour les basses fréquences : 24-32-64 et 128 Hz. Ils vibrent plus fort, moins longtemps. Adaptés pour les oreilles (écoute), l'application corporelle et l'aura.
* Les diapasons non-lestés
Les Diapasons non-lestés émettent simultanément des sons harmoniques plus aigus. En particulier la 6e harmonique. Ils vibrent moins fort, plus longtemps. Adaptés pour les oreilles (écoute) et l'aura. Ne vibrent pas suffisamment pour être appliqués directement sur le corps.
(Usages spécifiques complémentaires étudiés durant les formations.)